Cette fois, les vacances sont derrière nous. La chaleur de l'été semble se faire de plus en plus discrète jusqu'à s'évanouir et il est temps de reprendre une routine hebdomadaire salvatrice. J'ai (enfin) terminé la course aux inscriptions pour les activités. Cette année nous avions eu la chance extrême d'avoir des informations bien plus tôt que les autres fois mais il a encore fallu faire quelques queues pour porter les dossiers. C'est avec le sentiment du devoir accompli que notre emploi du temps est fixé pour cette "nouvelle" année.
Nous avons donc ressorti les cahiers dans cette nouvelle optique avec une leçon toute en douceur car il fait bon découvrir la géographie physique de son pays. Imaginer les reliefs, se dire que l'on pourra les reconnaître ou les différencier avec ceux d'ailleurs et se familiariser avec son territoire est toujours un grand plaisir ici. On a souvent l'impression de tout savoir sur notre France simplement par le fait qu'on y habite. Pourtant elle est d'une richesse et d'une variété qu'il serait dommage de ne pas réellement appréhender.
C'est ainsi qu'après le Bassin parisien, le Bassin aquitain, les plaines de Flandre et d'Alsace, nous avons vogué le long du Sillon rhodanien. Entre la Vallée de la Saône et celle du Rhône sur plus de 450 km, longeant le Massif Central et les Alpes, ce fut une sympathique reprise.
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